SORYY HACKED


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EGER HAYAT BUYSA BEN KODLARA SAKLIYIM ____________________________________________________________
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chatstep payant Archives - Kellum Physician Partners https://kellumphysicianpartners.com/category/chatstep-payant-2/ Tue, 20 Sep 2022 14:45:35 +0000 en-US hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.5.2 https://hplf13.p3cdn1.secureserver.net/wp-content/uploads/2017/06/Screen-Shot-2017-06-22-at-7.23.40-PM.png?time=1714424236 chatstep payant Archives - Kellum Physician Partners https://kellumphysicianpartners.com/category/chatstep-payant-2/ 32 32 Poete, prends ton luth et m’a donne un baiser ; La fleur de l’eglantier sent ses bourgeons eclore, Le printemps nait ce apri?m ; les vents vont s’embraser ; Et J’ai bergeronnette, en attendant l’aurore, Aux premiers buissons verts commence a se poser. Poete, prends ton luth, et me donne un baiser. https://kellumphysicianpartners.com/2022/09/poete-prends-ton-luth-et-m-a-donne-un-baiser-la/ Tue, 20 Sep 2022 14:41:42 +0000 https://kellumphysicianpartners.com/?p=81274 Poete, prends ton luth et m’a donne un baiser ; La fleur de l’eglantier sent ses bourgeons eclore, Le printemps nait ce apri?m ; les vents vont s’embraser ; Et J’ai bergeronnette, en attendant l’aurore, Aux premiers buissons verts commence a se poser. Poete, prends ton luth, et me donne un baiser.

Comme il fera chatstep noir dans la vallee ! J’ai cru qu’une forme voilee Flottait la-bas via la foret.

Elle sortait une prairie ;

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Poete, prends ton luth et m’a donne un baiser ; La fleur de l’eglantier sent ses bourgeons eclore, Le printemps nait ce apri?m ; les vents vont s’embraser ; Et J’ai bergeronnette, en attendant l’aurore, Aux premiers buissons verts commence a se poser. Poete, prends ton luth, et me donne un baiser.

Comme il fera chatstep noir dans la vallee ! J’ai cru qu’une forme voilee Flottait la-bas via la foret.

Elle sortait une prairie ; Son pied rasait l’herbe fleurie ; C’est une etrange reverie ; Elle s’efface et disparait.

Poete, prends ton luth ; la nuit, sur la pelouse, Balance le zephyr dans le motocross odorant. La rose, vierge encor, se referme jalouse Sur le frelon nacre qu’elle enivre en mourant. Ecoute ! bien se tait ; songe a ta bien-aimee. Ce apri?m, sous les tilleuls, a la sombre ramee Le rayon du couchant laisse 1 adieu plus doux. Ce jour, tout va fleurir : l’immortelle nature Se remplit de parfums, d’amour et de murmure, Comme le lit joyeux de deux jeunes epoux.

Pourquoi mon coeur bat-il si vite ?

Qu’ai-je donc en moi qui s’agite Dont J’me sens epouvante ? Ne frappe-t-on nullement a chez moi ? Pourquoi ma lampe a demi morte M’eblouit-elle de clarte ? Dieu puissant ! tout notre corps frissonne. Qui vient ? qui m’appelle ? – Personne. J’suis seul ; c’est l’heure qui sonne ; O solitude ! o pauvrete !

Poete, prends ton luth ; le vin en jeunesse Fermente votre nuit en veines de Dieu. Mon sein reste inquiet ; la volupte l’oppresse, ainsi, les vents alteres m’ont mis la levre en feu. O paresseux enfant ! regarde, j’habite belle. Notre premier baiser, ne t’en souviens-tu jamais, au moment oi? je te vis si pale au toucher du aile, Et que, le regard en pleurs, tu tombas dans mes bras ? Ah ! je t’ai console d’une amere souffrance ! Helas ! bien jeune encor, tu te mourais d’amour. Console-moi ce soir, J’me meurs d’esperance ; J’ai besoin de prier pour vivre jusqu’au jour.

Est-ce toi dont la voix m’appelle, O la pauvre Muse ! est-ce toi ? O ma fleur ! o le immortelle ! Seul etre pudique et fidele Ou vive encor l’amour de moi ! Oui, te voila, c’est toi, la blonde, C’est toi, ma maitresse et ma soeur ! Et je sens, dans la nuit profonde, De ta robe d’or qui m’inonde Les rayons glisser dans mon coeur.

Poete, prends ton luth ; c’est moi, ton immortelle, Qui t’ai surpris votre nuit triste et silencieux, ainsi, qui, tel 1 oiseau que sa couvee appelle, Pour pleurer avec toi descends du bas des cieux. Viens, tu souffres, ami. Quelque ennui solitaire Te ronge, quelque chose a gemi dans ton coeur ; Quelque amour t’est venu, comme on en voit sur terre, Une ombre de bonheur, un semblant de bonheur. Viens, chantons devant Dieu ; chantons dans tes pensees, Dans tes plaisirs perdus, dans tes peines passees ; Partons, dans un baiser, pour votre monde inconnu, Eveillons au hasard nos echos de ta vie, Parlons-nous de bonheur, de gloire et de folie, Et que votre soit un reve, et le premier venu. Inventons quelque part des lieux ou l’on oublie ; Partons, nous sommes seuls, l’univers est a nous. Voici la verte Ecosse et la brune Italie, ainsi, J’ai Grece, la tante, ou le miel est si doux, Argos, ainsi, Pteleon, ville des hecatombes, Et Messa la divine, agreable a toutes les colombes, Et le front chevelu du Pelion changeant ; Et le bleu Titarese, et le golfe d’argent Qui montre dans ses eaux, ou le cygne se mire, La blanche Oloossone a J’ai blanche Camyre. Dis-moi, quel songe d’or des chants vont-ils bercer ? D’ou vont venir les pleurs que nous allons verser ? Ce matin, quand le jour a frappe ta paupiere, Quel seraphin pensif, courbe dans ton chevet, Secouait des lilas dans sa tunique legere, Et te contait bien bas les amours qu’il revait ? Chanterons-nous l’espoir, la tristesse ou la joie ? Tremperons-nous de sang nos bataillons d’acier ? Suspendrons-nous l’amant sur l’echelle de soie ? Jetterons-nous au vent l’ecume du coursier ? Dirons-nous quelle main, au sein des lampes sans nombre en maison celeste, allume nuit et jour L’huile sainte de vie et d’eternel amour ? Crierons-nous a Tarquin : » c’est temps, voici l’ombre ! « Descendrons-nous cueillir la perle au fond des mers ? Menerons-nous la chevre a toutes les ebeniers amers ? Montrerons-nous le ciel a J’ai Melancolie ? Suivrons-nous le chasseur sur les monts escarpes ? J’ai biche le regarde ; elle hurle et supplie ; Sa bruyere l’attend ; ses faons paraissent nouveau-nes ; Il se baisse, il l’egorge, il jette a J’ai curee i  propos des chiens en sueur le coeur encor vivant. Peindrons-nous une vierge a la joue empourpree, S’en allant a Notre messe, un page J’ai suivant, ainsi, d’un regard distrait, a cote de sa maman, Sur sa levre entr’ouverte oubliant une priere ? Elle ecoute en tremblant, dans l’echo du pilier, Resonner l’eperon d’un hardi cavalier. Dirons-nous aux heros des vieux temps une France De monter bien armes a toutes les creneaux de leurs tours, Et de ressusciter la naive romance que un gloire oubliee apprit aux troubadours ? Vetirons-nous de blanc une molle elegie ? L’homme de Waterloo nous dira-t-il sa vie, ainsi, votre qu’il a fauche du troupeau des humains Avant que l’envoye d’une nuit eternelle Vint dans le tertre vert l’abattre d’un coup d’aile, Et sur son coeur de fer lui croiser les 2 mains ? Clouerons-nous au poteau d’une satire altiere Le nom sept fois vendu d’un pale pamphletaire, Qui, pousse par la faim, du fond de son oubli, S’en vient, bien grelottant d’envie et d’impuissance, Sur le front du genie insulter l’esperance, Et mordre le laurier que le souffle a sali ? Prends ton luth ! prends ton luth ! je ne pourrais plus me taire ; Mon aile me souleve au souffle du printemps. Notre vent va m’emporter ; je vais quitter la terre. Une larme de toi ! Dieu m’ecoute ; il va i?tre temps.

The post Poete, prends ton luth et m’a donne un baiser ; La fleur de l’eglantier sent ses bourgeons eclore, Le printemps nait ce apri?m ; les vents vont s’embraser ; Et J’ai bergeronnette, en attendant l’aurore, Aux premiers buissons verts commence a se poser. Poete, prends ton luth, et me donne un baiser. appeared first on Kellum Physician Partners.

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